Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/02/2007

Les transporteurs, suite

et fin, j'espère.
Vous vous souvenez ? Ma note du 26 janvier, mon deuxième ennui grave avec un transporteur : le 10 janvier on m'a livré à la nuit, dans la rue, un colis destiné à une pépinière en Vendée (480 km). Il portait l'adresse de la pépinière écrite par l'expéditeur et une étiquette à mon adresse, pleine de fautes, nom incompréhensible, collée par un transporteur, GLS. Mais l'expéditeur s'était adressé à ABX. Aujourd'hui, un transporteur est enfin venu chercher le colis, après 6 semaines de relances ! Six semaines pendant lesquelles je me suis efforcée, avec succès c'est vrai, à maintenir en vie des plantes, toutes racines à l'air, en vie.
Déjà, lorsque je travaillais encore, je pestais contre les entreprises qui utilisent des transporteurs. Il n'y a pas d'autre solution pour un particulier que de se faire livrer sur son lieu de travail. Avec la poste, c'est simple. Si le colis arrive quand on n'est pas là, il suffit d'aller le chercher à la poste quand on peut.
Maintenant je sais qu'il y a une autre différence. Les transporteurs sont payés pour rendre un service. Mais seule la première partie de l'accord les intéresse. La notion de service n'a aucun sens pour eux. Lorsque je commande un colis livré par la poste, j'ai un numéro de suivi et la possibilité de contacter la poste à tout moment. Avec les trans porteurs, pour le destinataire, c'est l'opacité totale. Et il leur faut des semaines pour condescendre à réparer leurs erreurs.
J'espère que cette fois le colis va arriver où il faut.

Les commentaires sont fermés.