25/06/2008
Sambucus latipinna
Je n'avais pu aller à Romilly depuis 10 jours ou plus. J'étais inquiète pour mes sureaux et ce que j'ai vu en arrivant ne m'a pas rassurée. Toutes mes plantes, sureaux compris, avaient disparu sous une végétation exubérante. J'ai passé 4 heures à dégager délicatement mes sureaux les plus précieux car rares, en exemplaire unique, et souffreteux à Trifouilly. Et surprise : ils étaient en pleine santé, s'étaient étoffés, au-delà de mes espérances.
Je vais d'abord vous montrer le plus précieux car je serais incapable d'en retrouver un. Il m'a été offert par un autre amateur de sureaux. Je ne l'ai encore jamais décrit. C'est vrai que j'ai abandonné mon "cours" sur les sureaux depuis des semaines. C'est parce que j''ai trop peu de renseignements sur ces derniers sureaux de la dernière section en Asie, et pas de photos des fleurs et des fruits à vous montrer pour l'instant.
Sambucus latipinna était presque mort lorsque je l'ai enlevé du sol néfaste de Trifouilly. Toute la végétation aérienne était morte (c'est un ligneux). Je ne l'avais retrouvé qu'à 4 pattes grâce à son étiquette fichée en terre. Une seule minuscule trace de vie : cette petite pousse qui repartait du collet. Le bâton brun à droite, c'est ce qui est mort. Le jour de sa replantation le 15 février :
Le voici le 17 mars :
et le 4 avril :
Et le voici aujourd'hui :
23:22 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nature, plantes
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