23/07/2010
Les noisettes rouges
mais je n'y goûterai encore pas cette année.
Mon noisetier pourpre à Romilly prend de l'ampleur depuis que je l'ai un peu dégagé de l'envahissement des noisetiers verts beaucoup plus grands et vigoureux. Le voici le 28 juin. On voit qu'il lance une branche en hauteur derrière une branche de noisetier vert. Il faut que je le dégage encore un peu.
J'aime bien photographier ses noisettes. Elles sont ravissantes avec leur coque rose et leur jupon rouge tout plissé.
Le 12 juin l'an dernier :
Le 18 juillet cette année :
Je ne les ai pas cueillies car je pensais qu'elles n'étaient pas mûres. Mais 4 jours plus tard, le 22 juillet, il n'y avait plus une seule noisette sur l'arbre et beaucoup de demi-coques au sol ! Il y a donc des écureuils. Pourtant je ne les ai jamais vus. De quoi ont-ils peur ? Des garnements du quartier ? Ou des chasseurs qui ne les tirent sans doute pas, du moins je l'espère, mais leur font peur ? A Veneux ils ont repris confiance et plus d'un automobiliste a déjà dû freiner pour en éviter un qui traversait la rue. Ils ont une telle confiance que j'ai la joie de les voir contre mes fenêtres l'hiver. Sur cette photo du 6 avril 2007 il est à moins d'un mètre de la vitre. Le motif ? Je venais d'arrêter le nourrissage.
15:50 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jardin
Commentaires
Très jolie la première photo !
Justement, j'ai repensé à ce que vous disiez il y a quelque temps, à propos de l'espèce des noisetiers pourpres de votre jardin en voyant le catalogue d'une pépinière. En effet vous aviez raison, il existe bien des cultivars 'Purpurea' (ou des formes, je crois que ce n'est pas bien clair) aussi bien chez Corylus avellana que chez C. maxima.
Écrit par : Antoine | 23/07/2010
Les commentaires sont fermés.