08/06/2012
Rosa mulliganii
Ce rosier est une incroyable force de la nature et je commence à avoir du mal à le maîtriser. De tous les rosiers plantés à Veneux, c'est le seul qui a survécu. Il supporte tout, il ne discute ni la qualité du sable ni la puissance des racines du grand chêne au pied duquel je l'ai planté.
Même à l'époque où je l'ai planté j'avais compris qu'un tel rosier liane ne pouvait avoir comme support qu'un arbre de grande taille. Mais les branches du chêne se sont allongées vers le soleil et le rosier ne recevait plus assez de lumière. Pour retrouver le soleil il a squatté une branche d'une grande aubépine rouge et l'a courbée sous son poids.
Ce que vous voyez sur ces photos, ce n'est que la moitié de l'épaisseur qu'il avait décidé d'atteindre cette année. A la fin de l'hiver il s'est mis à proliférer et juste avant la floraison j'ai été obligée de couper toute la moitié inférieure de cette arche. En effet, ma voiture passait encore dessous mais pas les piétons ni le petit fourgon qui m'amène les Colissimo.
Il grimpe aussi sur le tronc du chêne comme prévu mais y fleurit beaucoup moins à cause de l'ombre.
00:53 Publié dans roses | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
est-ce qu'il a un parfum particulier?
Écrit par : allongue claudette | 08/06/2012
Oui, il est parfumé mais cette année j'ai du mal à étudier son parfum parce qu'un seringat à son pied est en fleurs en même temps et répand un parfum incroyable.
Écrit par : sambuca | 08/06/2012
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