07/02/2014
Après la tempête
Elle a présenté un avantage, l'élagage gratuit des branches mortes. Elle n'a pas fait de vrais dégâts sur mon terrain mais ma nuit a été aussi agitée que la tempête et je manque de sommeil. Il faut dire que le vent me fait très peur à cause de mes arbres. Mais le vent n'a pas dépassé 100 km/h, une bise légère à côté de la tempête de janvier 1990 qui a fait des ravages sur mon terrain et de celle de décembre 1999 qui n'a plus rien trouvé à arracher.
Il y a eu cependant un peu de bousculade. Ces pendouilles au milieu du chemin d'entrée, ce sont des pousses de l'année de Rosa mulliganii. Cela permet d'apprécier de quoi est capable ce rosier-liane. Je vais raccrocher certaines sur le côté. Pour celles du milieu, je vais essayer, en les soulevant avec un balai de les accrocher sur l'arcade, elles ont des épines nombreuses et agressives qui devraient aider. En cas d'échec il me faudra utiliser un escabeau.
Les fleurs de Edgeworthia chrysantha en sont tout ébouriffées. Étant donné leur conformation, j'aurais dû penser à les recouvrir. Mais je ne suis pas encore une spécialiste de la culture de cette jolie plante. J'espère qu'elles vont s'en remettre.
Comme un roseau, un bambou plie mais ne rompt point. La photo est prise pendant une rafale à 70 km/h. Entre deux rafales ils se redressent totalement. Ceux du voisin et ceux qui ont envahi mon terrain sont aussi hauts que ma maison, environ 8m.
Le vent n'empêche pas les crocus de se multiplier
ni les iris de montrer leur première fleur
ni les oiseaux de grignoter les fruits mûrs du lierre :
Les fleurs de Camellia sasanqua n'ont pas été gênées par le vent :
15:48 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
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