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12/11/2006

Que faire ?

Les sureaux que j'avais eu tant de peine à trouver, pour lesquels j'avais fait de longs trajets ou que je m'étais fait expédier de l'étranger, étaient morts. Il fallait trouver un autre terrain. Mais l'un d'eux, Sambucus sibirica avait poussé la plaisanterie jusqu'à mourir en hiver : il a fleuri en février pour mourir peu de temps après. Mon interprétation : il a débourré trop tôt, trompé par notre hiver trop doux pour lui, et ensuite la première gelée a eu raison de sa témérité. Que faire ? Le protéger comme un sureau tropical dès qu'il a débourré ? Encore fallait-il en retrouver un, c'est l'un des plus rares.
De cette époque il ne reste que S. tigranii et S. sacchalinensis. Par contre Sambucus palmensis, le sureau des Canaries, trouvé beaucoup plus tard, s'est développé à grande vitesse alors qu'il végète sur l'autre terrain plus favorable à la plupart des sureaux.

15:40 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)

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