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13/11/2006

Internet

Si le livre de Richard Bolli, considéré comme la Bible des sureaux, m'a donné une idée du nombre d'espèces botaniques et me sert de repère pour la classification, c'est sur Internet que j'ai découvert l'étendue de ce monde des sureaux : espèces, sous-espèces et variétés, spontanées ou selectionnées, crées par sélection dans un but décoratif ou productif. J'y ai vu la renaissance de la culture des sureaux à but productif en Europe du Nord et de l'Est, au Canada, en Amérique du Sud où un gouvernement incite à la commercialisation de produits dérivés, gelées et marmelades. J'y ai vu les efforts des anglais pour sélectionner des sureaux décoratifs pouvant remplacer les érables japonais sur les terrains calcaires, ils ont réussi et ont créé des petites merveilles. J'y ai vu que le sureau a accompagné l'Homme de tous temps et pour tous usages, cuisine, médecine, teinture, protection, magie...et on en retrouve trace jusque dans la préhistoire et pas seulement en Europe mais sur tous les continents, du moins pour l'équivalent de notre sureau noir. J'ai voulu tout savoir et observer ces plantes magiques et donc les cultiver.
C'est grâce à mon fils que j'ai eu accès très tôt à l'ordinateur. Je ne suis pas née à côté d'un ordinateur comme les nouvelles générations et je ne suis pas douée. J'ai commencé avec Windows 95 et à cette époque il était impossible de trouver de l'aide.

23:40 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)

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