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12/10/2013

Trachycarpus takil

 

Il y a au jardin botanique de Marnay sur Seine une petite collection de jeunes palmiers résistants au froid. Je vous ai déjà montré Trachycarpus fortunei planté il y a 14 ans.

Voici Trachycarpus takil, le palmier de l'Himalaya. Il est âgé de 8 ans. C'est celui qui pousse le plus vite dans la collection. Photographies du 16 juin et du 21 septembre :

 

1 trachycarpus takil marnay 16 juin 2013 083 (1).jpg

2 trachycarpus takil marnay 21 sept 2013 093 (1).jpg

trachycarpus takil marnay 21 sept 2013 093 (2).jpg

C'est probablement le plus résistant au froid des Trachycarpus, il pousse jusqu'à 2400m.

Dans sa région d'origine, le Kumaon au nord de l'Inde, il a été presque décimé pour la récolte de fibres. Il peut atteindre 12m de hauteur avec un stipe de 20cm de diamètre.

 

01:04 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (3)

Commentaires

Je ne sais pas ce qu'il en est actuellement, mais les dénominations n'étaient pas claires chez ces palmiers. Je m'y étais intéressé il y a quelque temps, et certains botanistes voyaient une dizaine d'espèces (T. martianus, T. wagnerianus, T. takil, T. latisectus...) et plusieurs sous-espèces et variétés, alors que pour d'autres il n'y avait qu'une seule espèce : T. fortunei, et juste quelques variations repérables dans les semis.

Écrit par : Antoine | 12/10/2013

Pour les palmiers rustiques, La Palma Del Mas, une pépinière très intéressante dans le Tarn (région d'Albi ou de Cordes) avec une grande variété de palmiers résistants au froid, semés et élevés sur place : Sabals, Trachycarpus, Chamaerops humilis, Butias, Braea armata, etc

Adresse : Naussens 81150 Castanet
Contact : lapalmadelmas@orange.fr
et 06 72 77 21 09

Écrit par : Donna | 12/10/2013

Merci pour ces renseignements mais j'ai un Butia qui a nagé sans se plaindre pendant un mois, je ne sais si les autres en supporteraient autant.

Pour Antoine : j'ai encore un bébé martianus à montrer. Savoir s'il y a une ou plusieurs espèces, cela dépasse mes compétences. Mais il semble exister des botanistes qui veulent absolument réduire le nombre d'espèce. Lorsqu'une espèce a été très dispersée géographiquement, elle peut évoluer différemment jusqu'à devenir une autre espèce proche. J'ai le mauvais souvenir d'un réducteur de nombre d'espèces de sureaux de façon ridicule et anti-scientifique. Beaucoup y ont cru mais ils ont tous abandonné cette absurdité ensuite.

Écrit par : sambuca | 12/10/2013

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