30/09/2017
Couleurs d'atomne
Les cyclamens n’ont pas peur du lierre, le tapis permanent dans cette zone. Le 19 septembre le lierre est encore dominant autour des fleurs.
Le 26 septembre il est presque totalement recouvert par les fleurs et les feuilles du cyclamen
La symphorine prépare ses baies :
Une azalée prend ses couleurs d’automne :
Hydrangea petiolaris jaunit à peine mais ses tiges prennent une couleur rouge :
Actinidia ‘Jenny’ :
Et Actinidia melanandra :
Euonymus phellomanus commence son embrasement :
Et juste à côté Forsythia x intermedia ose pour la deuxième année consécutive une petite remontée florale imprévue :
Les fruits du muguet :
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26/09/2017
Hedera helix, au bonheur des abeilles
La floraison du lierre bat son plein et va durer encore au moins tout le mois d’octobre. C’est une aubaine pour les abeilles à une période de l’année où les fleurs sont plus rares alors qu’il fait encore assez chaud pour que les abeilles soient actives. Je garde beaucoup de lierre sur le terrain de Veneux et j’essaie de développer son installation à Romilly. Il forme un beau couvre sol régulier, de hauteur constante. Quand il s’élève un peu, il fleurit.
Un beau massif au fond du jardin :
Et une montagne de fleurs sur mon HLM pour faune sauvage :
Sur un mur de la maison le joli lierre ‘Oro di Bogliasco’ s’y met aussi :
Les fleurs sont joliment hérissées d’étamines mais les abeilles ne s’intéressent pas au pollen du lierre,
Elles adorent le nectar. Abeilles et syrphes assaillent les fleurs :
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25/09/2017
Paramutabilis, syriacus, mutabilis, des hibiscus pour l'atomne
Hibiscus paramutabilis pourrait être davantage utilisé dans les jardins. Il est aussi rustique que Hibiscus syriacus. Les miens ont 8 ans. Ceux de Romilly ont grandi très vite et dépassent largement les 2m. Celui de Veneux supporte moins bien le terrain sec et pauvre, il est plus petit et, contrairement à ceux de Romilly, je dois l’arroser souvent en été.
La floraison a mis plus de temps à s’installer à son maximum. Ils ont fleuri dès la première année, des très grandes leurs blanches,
Mais en petite quantité et seulement en juillet et août. Normalement il fleurit en été et automne. L’an dernier il a eu enfin une floraison abondante :
Mais elle n’a pas dépassé le mois d’août. Enfin cette année il se décide à poursuivre en septembre. La dernière photo est du 23 septembre et il y a encore des boutons :
Il est accompagné par un Hibiscus syriacus aux fleurs originales et ravissantes :
Un autre hibiscus complètera plus tardivement leur floraison, c’est Hibiscus mutabilis. Il est moins rustique. Il survit jusqu’à -10 ou -12°C mais toute la partie aérienne disparait en cas de gel ou doit être rabattue pour un meilleur départ au printemps. En climat plus chaud il ressemble aux deux autres et persiste et fleurit toute l’année. Ici donc il repart au printemps, ne peut dépasser 1m et fleurit en automne. Le mien n’a qu’un an. Aujourd’hui il est encore en boutons :
En attendant les fleurs, voici deux fleurs du 19 septembre et du 21 octobre 2016 :
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24/09/2017
Black Lace ressuscite
Les inondations graves et prolongées pendant 6 semaines en mai-juin 2013 à Romilly m’avaient fait perdre tous mes sureaux noirs sauf ‘Aurea’ qui a même fleuri, avec retard, dès le retrait des eaux et ‘Urban Lace’ mais en mauvais état. Je les ai tous laissés en place.
L’an dernier ‘Sambu’ était reparti (après 3 ans d’aspect mort), il est beau et touffu et il a fleuri cette année. Maintenant un sureau à feuillage panaché et ‘Black Lace’ au feuillage lacinié et rouge sombre ont refait quelques feuilles. Incroyable après 4 ans avec seulement du bois d’aspect mort.
Voici mon jeune ‘Black Lace’ le 23 mai 2011. Il était déjà beau :
A la fin des inondations, il perd son feuillage. Le 27 mai 2013 :
Le voici tel que je l’ai trouvé hier après l’avoir débarrassé des broussailles :
Il n’a encore qu’une dizaine de feuilles mais ce n’est pas une repousse de la base, ces feuilles réapparaissent directement en bout de branches sur le bois qui semblait mort. Pour l’instant ces feuilles sont surtout vertes mais c’est normal, il a besoin de beaucoup de chlorophylle pour se refaire une santé et d’autant plus que le soleil lui était en partie caché par les ronces qui le recouvraient.
Un autre miracle juste à côté : un rosier d’aspect mort depuis 2013 qui refait au bout d’une branche des feuilles et 3 boutons :
Nous en reparlerons lorsque les roses seront ouvertes.
Tout cela justifie mon habitude de ne pas arracher les arbustes en apparence morts auxquels je tiens.
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22/09/2017
Arbutus andrachnoides et Eriobotrya japonica
Deux arbres à croissance très lente, ils sont jeunes et mesurent environ 1m30, mais à floraison dès la première année de plantation, pas toujours suivie de fruits.
La floraison de Arbutus andrachnoides a commencé il y a 15 jours, abondante, une grappe de fleurs à l’extrémité de chaque branche. Les photos sont du 11 septembre :
Il est intéressant par son beau feuillage persistant, d’un beau vert sans taches, sa floraison automnale et hivernale, et il est surtout recherché pour son écorce. Mais il ne faut pas compter sur lui comme arbre fruitier, il fructifie très rarement (c’est un hybride mais spontané dans la nature). Il m’a donné une seule arbouse l’an dernier :
Son écorce commence à devenir intéressante. A ses pieds des fraisiers sauvages et de l’aspérule odorante :
Je viens de découvrir, alors que le soleil est déjà couché, le début de floraison de Eriobotrya japonica ‘Oliver’ , le néflier du Japon, encore en boutons. C’est sa troisième floraison et lui aussi a une grappe de fleurs au bout de chaque branche. La vue d’ensemble n’est pas terrible parce qu’il fait déjà presque nuit :
Il m’avait donné l’an dernier ses premières nèfles. Le 18 juillet 2016 :
20:38 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (3)
21/09/2017
L'année du chêne
Le grand chêne à l’entrée du terrain de Veneux est probablement le plus vieux de mes chênes. Il y a 45 ans il avait déjà plus de 60 ans puisqu’il produisait des glands. Il est donc plus que centenaire. Mais ne vous inquiétez pas pour lui, Quercus pedonculata vit en moyenne 500 ans ou plus.
J’ai l’impression que les chênes sont sujets à l‘alternance, l’an dernier il y avait peu de glands, cette année c’est une marée :
Il y a cette densité de glands sur toute l’entrée, au moins 10m x 4m, et je ne vois pas ce qui se passe de l’autre côté de l’arbre, les glands sont cachés par le lierre, et tous les glands ne sont pas tombés. Ils seront ratissés en automne avec les feuilles mortes mais il en restera et j’aurai à supprimer des dizaines de jeunes pousses.
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20/09/2017
Mespilus germanica
J’ai deux néfliers, j’en avais trois mais j’en ai donné un. Ce sont de vrais sauvages, ils mesuraient déjà plus de 2m il y a 45 ans sur ce terrain, un reste de la forêt de Fontainebleau, tout le village ayant été déboisé alentour. Ils ont des fruits plus petits que les sélections actuelles.
J’ai photographié l’un d’eux, le plus proche de la maison de façon partielle parce que je n’ai pas assez de recul. On voit en bas à gauche une de ses branches, elles sont tortueuses :
Ce sont de petits arbres, les miens ne dépassent pas 4m mais ils prennent beaucoup de place en largeur. Celui-ci déborde devant la maison et surplombe la terrasse dallée. J’ai dû couper des branches pour permettre le passage vers le reste du terrain :
L’autre néflier est en plein milieu du terrain et il a pris ses aises. Il occupe toute l’image :
Ses fruits sont déjà mûrs :
Mais ils ne sont consommables que blets. On dit qu’il faut les cueillir après le gel mais ici cela n’arrive jamais, et rarement, avant novembre, parfois seulement en janvier. Lorsque le gel arrive enfin, les oiseaux ont déjà tout mangé. Certains conseillent de les cueillir en octobre et d’attendre qu’ils deviennent blets. Une année j’ai essayé. Deux mois plus tard ils étaient toujours aussi durs. Je les ai mis au congélateur, gel garanti, mais c’étaient bien des efforts pour des fruits pas terribles. Je les laisse donc aux oiseaux. Je me contente de la beauté de ces petits arbres.
Son beau feuillage reste toujours très sain :
Ils n’ont jamais été arrosés, même pas lors des étés les plus secs.
Les fleurs en mai :
Elles ont beaucoup de succès :
Le feuillage d’automne :
00:11 Publié dans flore locale, fruitiers | Lien permanent | Commentaires (0)
15/09/2017
Un drôle de champignon
A Romilly, en ramassant du vieux bois pour la cheminée, j’ai trouvé un champignon d’un genre que je n’avais jamais vu, d’aspect gélatineux, formant une masse cérébriforme
Il n’a pas de pied :
Je pense à une Tremella ou plutôt, vu sa couleur, à .Ascotremella faginea. Ce champignon aime surtout le hêtre mais a déjà été vu sur d’autres feuillus y compris sur du noisetier, ce qui est le cas ici.
http://www.mykologie.net/index.php/houby/podle-morfologie...
http://mycorance.free.fr/valchamp/champi498.htm
20:20 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
13/09/2017
Rosa Sericea pteracantha
C’est maintenant, en septembre, qu’il se décide à faire ses jeunes tiges rouges aux belles épines, le principal attrait de ce rosier. Mais les grandes branches qui ont perdu leur éclat n’améliorent pas l’esthétique.
Je ne sais pas, je n’ai pas encore trouvé le bon traitement pour ce rosier. On dit qu’il faut tailler sévèrement à la fin de l’hiver. Peut-être aurais-je ainsi plus tôt ces nouvelles pousses rouges. Mais je crains en procédant ainsi de perdre la floraison charmante :
Encore plus charmante lorsqu’une fleur s’orne d’un gracieux longicorne :
11:03 Publié dans roses | Lien permanent | Commentaires (0)
11/09/2017
Des crustacés dans les coings
Voici ce que j’ai découvert dans les coings attaqués par des guêpes. Il est bien entendu qu’il s’agit de fruits d’une variété de Cydonia oblonga (Krymsk ou Aromatnaya) qui parviennent à maturité sous notre climat, contrairement aux coings habituels qui restent durs et astringents. C’est leur maturité qui attire ces bestioles.
J’ai coupé la partie atteinte des fruits et il s’en est échappé ce que j’ai d’abord pris pour des fourmis rousses. Les agrandissements photographiques m’ont détrompée :
Ce n’est pas un insecte, il a trop de pattes. C’est un crustacé terrestre. Il ressemble au cloporte mais en minuscule et roux. Il a profité de la brèche créée par une guêpe pour se nourrir mais ce qui m’étonne c’est qu’il ait pu grimper à plus d’un mètre de haut. Et ils étaient plusieurs.
D’une autre plaie de coing, à peine encore la piqure de guêpe, il est sorti une autre minuscule bestiole, très rapide :
C’est une toute petite araignée. Elle a bien 4 pattes d’un côté, elle semble en avoir perdu 2 de l’autre :
Et on peut même voir 7 de ses yeux :
20:38 Publié dans Animaux, fruitiers | Lien permanent | Commentaires (0)
L'effondrement de Cydonia 'Krymsk'
Hier, j’ai trouvé mon joli petit cognassier à fruits non astringents complètement couché au sol. Je n’ai pas pensé à faire une photo. J’étais paniquée car j’y tiens beaucoup et je n’ai pensé qu’à le redresser. Je l’ai rattaché aussitôt à un tuteur plus adapté à sa taille que celui de ses débuts. J’ai fait avec les moyens du bord et avec mes faibles forces. Je compte sur mon fils pour améliorer le travail. Pour l’instant voici mon résultat :
Il n’a pas été déraciné. Il n’a pas cassé, même pas au niveau de la greffe. Il est très jeune (moins de 4 ans) et sa souplesse a permis qu’il n’y ait apparemment aucune lésion. J’espère qu’il survivra.
Le problème du cognassier, c’est le poids de ses fruits. De plus ils se forment surtout en bout de branche et les branches ploient sous le poids des fruits. C’était la première fructification de mon jeune arbre et il en a produit 15 ! C’était sans doute trop pour ce jeune arbre d’un peu moins de 2m et autant de large et d’aspect encore très frêle. J’aurais dû le soulager, enlever au moins un des fruits des doublons.
Lorsqu’il a été redressé, j’ai vu 2 fruits tachés que j’ai enlevés. De toute évidence, c’était des piqures de guêpes autour desquelles se formait une pourriture. Mais ce que j’ai trouvé dans cette pourriture est étonnant, nous en parlerons la prochaine fois.
J’ai gouté ces fruits. Ils n’étaient pas tout à fait mûrs, acides et peu sucrés. Mais leur chair, facile à couper, avait la consistance d’une pomme et il n’y avait aucune astringence. Ils ont donc déjà atteint un stade de maturité plus avancé que nos coings habituels. Dans quelques jours ils auraient été sucrés et bons.
J’ai laissé les autres fruits en me promettant de surveiller. Mais ce matin 2 autres fruits étaient piqués. Je les ai ramassés bien qu’ils ne soient pas mûrs. Que faire s’ils sont attaqués avant qu’ils soient assez sucrés pour nous ? Une seule solution à ce problème : les ensacher, ce que je ferai l’an prochain.
On voit bien la piqure de départ autour de laquelle se développe la pourriture :
Les autres fruits :
J’ai raccourci 3 branches trop longues et très courbées.
C’était mon année d’apprentissage. Le murissement précoce de ces fruits permet de les manger en frais mais impose une surveillance et une protection comme pour les poires.
12:55 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (0)
10/09/2017
Hydrangea quercifolia prépare ses feux d'automne
Hydrangea quercifolia ‘Snow Queen’ avait montré sa belle floraison blanche dès le début de juillet :
Fin juillet les fleurs commencent à se teinter de rose :
Mais le 6 août l’arbuste a eu soif, cela se voit aux feuilles pendantes, et les fleurs sont passées trop rapidement à une teinte brune :
Le 9 septembre, c’est la phase brune de la floraison :
Mais en même temps les feuilles commencent à se teinter de rouge :
C’est le début de ses feux d’automne, un rouge superbe qu’il gardera jusqu’au début janvier, comme ici un 3 novembre :
Cette brillante coloration d’automne ne se développe que s’il reçoit suffisamment de soleil.
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06/09/2017
Miscanthus
Les Miscanthus de différentes espèces commencent à se voir dans les jardins.
Cette herbe de grande taille fleurit en automne. Début de floraison un 6 septembre dans mon jardin de Romilly :
De superbes touffes un 18 septembre dans le jardin botanique de Marnay sur Seine :
Ces fleurs vont persister tout l’hiver pour assurer le décor. Le 20 décembre :
Le 27 février :
Il est alors temps de tout rabattre pour faire place aux jeunes feuilles sans risquer de les couper.
En plus de son aspect esthétique une grande partie de l’année, le miscanthus a de multiples usages, même en jardin amateur :
https://www.permaculturedesign.fr/miscanthus-plante-vivac...
C’est en 2013 que j’ai découvert la culture industrielle du Miscanthus x giganteus dans le Loiret :
http://sureaux.blogspirit.com/archive/2013/11/23/le-misca...
https://www.terre-net.fr/observatoire-technique-culturale...
C’est un hybride triploïde donc stérile mais qui se multiplie par ses rhizomes.
Cette année je vois pour la première fois un champ de Miscanthus près de chez moi, à hauteur de Cannes-Ecluse en allant vers Villeneuve la Guyard :
Une très jeune plantation, il n’est encore pas très haut. De très loin on pourrait croire que c’est ne plantation de maïs mais le maïs est en fleurs depuis longtemps et ses feuilles sont plus larges.
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05/09/2017
Et maintenant Sternbergia lutea
09:34 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
04/09/2017
Crataegus ellwangeriana
C’est le premier de mes trois aubépines « exotiques » à cenelles comestibles et bonnes qui voit ses fruits arriver à maturité fin août. Mais ces aubépines ont une croissance lente et une production encore plus lente.
Planté en automne 2014, il a donné un petit nombre de fruits en 2016 :
Cette année les fruits sont plus groupés mais à peine plus nombreux. Le 23 août ils ne sont pas tout à fait mûrs, le cul est encore un peu vert :
Le 31 août ils sont mûrs mais certains ont déjà disparu, les oiseaux savent ce qui est bon.
Le fruit est 2 fois plus gros que celui de notre Crataegus monogyna et le goût est incomparable :
Pour l’instant je ne peux que les goûter en frais, nous sommes loin de la quantité pour un pot de confiture ou une tarte.
Un article de Wikipedia dit que ce serait synonyme de Crataegus pedicellata, synonyme aussi de coccinea. Je n’y crois pas. La date de maturité des fruits est différente, ceux de pedicellata sont encore très verts, ils seront mûrs début décembre. La forme des feuilles est également différente.
Feuille de C. pedicellata :
Feuille de C ellwangeriana :
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02/09/2017
Inula helenium
En 2011 un superbe pied d’Inula helenium s’était installé sans autorisation dans la cuvette d’un Sambucus nigra ‘Aurea’ alors tout petit :
Malheureusement, bien qu’aimant les zones humides, il n’a pas résisté aux inondations prolongées de plusieurs semaines en 2013. Le sureau par contre est le seul sureau noir qui a résisté sans aucun dommage, a même fleuri et fructifié lorsque l’eau s’est retirée, et est maintenant très grand.
La grande aunée du Jardin botanique de Marnay sur Seine, sans doute dans une zone un peu surélevée, a survécu. La voici le 26 juillet 2017 :
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Une chapelle orthodoxe à Misy sur Yonne !
Située en pleine campagne en face d’un château d’eau sur la petite route entre La Tombe et Misy sur Yonne, cette petite église orthodoxe surprend. Elle n’est pas entretenue mais à peu près en bon état extérieur, moins à l’intérieur, cernée de ronces et orties. Il n’y a jamais eu de communauté orthodoxe dans la région, ce serait en fait une imitation pour un caveau familial.
Les seules explications trouvées :
http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.ph...
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