30/06/2007
Des baies rouges pour les petits oiseaux
Mon minuscule Sambucus racemosa avait 4 grappes de fruits. Ici ils sont photographiés le 12 juin
Il y a 2 jours toutes les grappes étaient rouge vif. Et voici maintenant
Sambucus tigranii avait le 28 juin 7 magnifiques grappes de fruits bien rouges
Et voici aujourd'hui
Dans les deux cas il ne reste que les pédicelles, les superbes fruits rouges ont disparu en deux jours. Il n'y en a trace nulle part au sol.
Ces sureaux viennent d'autres régions, pour tigranii de très loin, et c'était leur première apparition sur le terrain de Trifouilly. Les oiseaux sans doute. Ils ont rapidement trouvé leur intérêt.
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29/06/2007
Fleurs
09:35 Publié dans Plantes, Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
28/06/2007
Sambucus palmensis, feuilles, suite
13:45 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Sambucus palmensis, les feuilles
Je n'ai trouvé aucune description précise, je vous donne donc mes constatations.
Des photos sont prises sur une feuille de papier de format A4 pour donner une idée précise des dimensions.
Ensemble de feuilles d'une branche âgée : feuilles petites, 5 à 7 folioles, pilosité sur tiges, pétiole, nervure, et tout tient au format A4
Vue en place
Gros plan sur la pilosité, j'espère que vous la verrez, ce n'est pas facile
Feuille d'une jeune pousse : plus de 30 cm, à elle seule elle déborde la page A4, le plus souvent 9 folioles, présence de stipelles (je n'ai jamais vu de stipules), une des folioles inférieures est dédoublée
13:15 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Au secours des sureaux
Sambucus canadensis 'York', planté en 2002, paraît en bonne santé. Vous aurez une photo dans quelques jours lorsque ses fleurs seront épanouies. Il mesure 3 m, mais seulement en hauteur. Il est étroit, il n'a que deux troncs, il ne drageonne pas.
Sambucus palmensis, certes plus jeune que celui de Veneux, il n'a que 2 ans, végète. Pour lui, la nature du terrain est sans doute en partie en cause, j'en discuterai dans la rubrique culture de palmensis.
Mais tous deux sont victimes des frênes et des cornouillers sanguins que je ne peux plus supporter. Ils grossissent à une vitesse folle, ils se ressèment partout. Depuis deux jours je taille dans le vif : sécateur, grand sécateur à deux mains et tronçonneuse sur batterie. Je ne touche pas aux grands et beaux arbres, mais tout le reste doit disparaître.
Je dois reconnaître que j'éprouve une certaine jouissance à abattre un frêne.
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27/06/2007
Sambucus palmensis, les tiges
Sur une jeune pousse les tiges sont vertes mais brunissent rapidement. Les poils sont blancs sur les pétioles, déjà bruns sur les tiges d'un an et de deux ans.
Les tiges plus âgées monteront des lenticelles
Les tiges présentent d'emblée une moelle blanche. J'ai "épluché" cette tige encore fine, on voit la moelle blanche, la deuxième écorce verte, l'écorce brune
Aux extrêmités des branches anciennes, les entre-noeuds sont souvent très courts
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26/06/2007
et encore
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25/06/2007
Papillons et petites bêtes
23:35 Publié dans papillons | Lien permanent | Commentaires (0)
24/06/2007
Papillons, c'est un succès
Cet après-midi, je n'ai pas beaucoup travaillé à Trifouilly. Il y avait tous les papillons espérés. Je suis donc partie à la chasse (photographique) aux papillons.
D'abord le paon du jour, Inachis io. Il y en avait beaucoup, surtout sur le buddleia, il semble bien connu que c'est un fanatique de cet arbuste.
Ailes déployées, il est superbe
Couple au restaurant
De profil, les teintes sont plus discrètes, mais le dessin raffiné. La trompe est en plein travail
Et voici une des maternités. Les femelles ne pondent que sur les orties. J'en garde des touffes à distance des zones de passage, ici au milieu des sureaux yèbles. Les fruits verts au-dessus sont ceux de Sambucus nigra 'Ina'
23:10 Publié dans papillons | Lien permanent | Commentaires (0)
23/06/2007
Sambucus palmensis, les troncs
21:30 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Sambucus palmensis
Nous continuons l'étude de la section Eusambucus avec Sambucus palmensis, le sureau endémique des Iles Canaries. Son nom, en effet, n'a aucun rapport avec les Baléares, bien que quelques specimens y aient été importés, mais avec La Palma, l'une des Iles Canaries où il a été décrit pour la première fois en 1825 par Link.
Nom vernaculaire : sauco canario, sabugo.
La bonne volonté qu'il met à s'adapter à notre climat malgré son origine subtropicale m'émeut.
Description
Les descriptions sont très succinctes, une bonne partie des renseignements donnés ici est donc mon expérience personnelle.
Arbuste ou arbre d'environ 5 m, pouvant atteindre jusqu'à 10 m. On ne parle nulle part de son caractère caduc ou persistant, je vais donc donner mon expérience : mon plus vieux pied se comporte comme un persistant. Il a été acheté il y a 7 ans, il avait alors environ 2 ans. Une seule fois lors de son premier hiver j'ai pu observer qu'il perdait ses feuilles fin décembre mais que de nouvelles poussaient aussitôt. C'est très rapide et j'ai pu manquer cet épisode les autres hivers. Il se comporterait donc en semi-caduc ou persistant.
Il ressemble beaucoup à Sambucus nigra. Le système racinaire semble du même type, avec plusieurs troncs formés par développement des bourgeons de la base. Il ne forme pas de rhizomes.
Vous voyez sur cette photo d'un sujet d'environ 9 ans que les lenticelles sont encore très nettes jusqu'à la base des troncs et que ces troncs sont dépourvus de ramifications et donc de feuillage sur au moins 2 m de hauteur
21:20 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Elderberry chutney
Ecrasez 1 kg de baies de sureau. Mettez-les dans une casserole, émaillée de préférence (pas d'aluminium), avec 1 gros oignon coupé en très petits cubes, 1 c. à café de sel, 5 c. à soupe de sucre, 1 c. à café de graines de moutarde, 1 c. à café de gingembre en poudre, 2 pincées de poivre de cayenne, 2 pincées de poudre d'épices, 50 cl de vinaigre.
Faites cuire en remuant souvent jusqu'à obtention d'une consistance grumeleuse. Mettez en pots quand il est encore chaud et fermez hermétiquement.
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22/06/2007
et aussi
Asters. Ceux que j'ai plantés l'an dernier restent invisibles. Alors, ces sauvageons, je les garde
Rose trémière. Elle n'est pas vraiment sauvage, mais elle s'est installée toute seule dans les cailloux de remblai au pied d'un grand frêne
L'autre sureau nain, aussi petit que le précédent
Corymbe de Sambucus canadensis
22:55 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Nouvelles de bord de Seine
Sauterelle dos et profil. Mettez vos lunettes, il faut la chercher, elle est aussi verte que l'herbe
Les petits papillons blancs sont toujours là et toujours sur Prunella, rien d'autre ne les intéresse
Par contre les grandes piérides du chou goûtent volontiers à Verbena bonariensis
Nouvelle poussée d'orobanches, au fond une ancienne fanée, devant une nouvelle
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Les plongeurs
Le 29 mai je vous ai parlé d'un couple d'oiseaux étonnants qui se déplaçaient sous l'eau en plongeant la tête la première et en ressortant 20 m plus loin. Je n'avais pu les photographier de près, ils étaient trop rapides pour que j'aie le temps de changer d'objectif :
Hier j'ai reçu le Rustica du 27 juin, il y a un article sur eux avec photo, meilleure que la mienne. Eux aussi les appellent plongeurs, ce sont des grèbes huppés. Leur technique de "plongée" est bien expliquée. C'est une espèce protégée.
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21/06/2007
Et les autres papillons
Vous le savez maintenant, sur mon terrain il y a beaucoup de piérides. Mais je vois très rarement un papillon d'une autre couleur.
Lorsque j'ai acheté ce terrain, il n'y avait pas de fleurs, donc pas de papillons. Jusque là c'est normal. Mais depuis j'ai défriché et les arbustes, bien dégagés, ont pu fleurir de nouveau. Je laisse pousser les jolies fleurs sauvages, j'ai ajouté des fleurs, j'ai conservé des touffes d'orties. Tout est prêt pour eux.
Mais mon terrain est complètement isolé, aucun couloir de nature ne mène à lui. Au sud c'est un grand champ, monoculture absolue, puis la départementale, bords bien nettoyés, et à nouveau des champs, et aussi une sablière. Au nord c'est la Seine, déjà bien large. A l'est et à l'ouest il y a des pelouses énergiquement, frénétiquement tondues, avec ces sortes de minitracteurs extrêmement bruyants pour des mini-surfaces, au mieux 500 m2.
C'est pour cela que j'ai osé acheter un buddleja. Il est considéré comme une plante invasive mais j'en ai vraiment besoin. Il n'y a pas de Guide Michelin pour les papillons, alors je suis obligée de faire moi-même ma publicité, une publicité qui doit être tapageuse pour être efficace.
22:40 Publié dans papillons | Lien permanent | Commentaires (0)
Pieris rapae
Mais quel est ce papillon ? Vous répondez aussitôt : c'est facile, c'est la piéride du chou. Il lui ressemble beaucoup mais il est nettement plus petit. Certes, il y a dimorphisme sexuel, le mâle est plus petit que la femelle mais ici la différence est plus importante, et les taches noires sont réduites ou absentes.
J'ai réussi à photographier ces deux là mais ce n'était pas facile et je n'ai pu les avoir dans la même position. Imaginez que celui qui vole est posé comme l'autre et donc que ses ailes sont toutes au même niveau, la différence de taille est vraiment notable
J'ai fouillé sur Internet et j'ai trouvé des explications et des images lumineuses. Le grand, c'est la piéride du chou, Pieris brassicae, et le petit c'esr la piéride de la rave, Pieris rapae
J'ai eu la confirmation avec cette photo que j'ai pu prendre les ailes ouvertes, on voit la disposition des taches qui est celle de Pieris rapae
19:50 Publié dans papillons | Lien permanent | Commentaires (0)
Les papillons
Il y a au bord de la Seine comme une invasion de papillons blancs. Il y en a des dizaines sur quelques mètres carrés
Regardez bien, ils se posent toujours sur les mêmes fleurs. Les voici de plus près
J'ai remarqué cette plante il y a une semaine. Elle a, elle aussi, envahi toute cette partie du terrain au bord de la Seine. C'est Prunella vulgaris. Elle est jolie, je vais la laisser, ce tapis bas de fleurettes ce n'est pas plus laid que du gazon grillé
18:40 Publié dans papillons | Lien permanent | Commentaires (0)
20/06/2007
Sambucus peruviana, avenir
Le gouvernement péruvien encourage la culture et l'utilisation industrielle de ce sureau : production à grande échelle de marmelades et sucreries naturelles en vue de l'exportation, particulièrement dans les secteurs Ancash et Cusco
marmelades en sachets pour le petit déjeuner
en pot
et vous connaissez déjà les saucoberries
Des études sont en cours sur l'activité anti-leucémique (université du Massachusetts).
12:25 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Sambucus peruviana, distribution
Depuis l'Argentine jusqu'au Costa Rica.
Au Pérou surtout dans les départements Ancash, Lima, Huanaco, Junin, Cusco, Apurimac.
Il occupe les montagnes entre 2800 et 3900 m mais surtout entre 3200 et 3800 m. Il supporte le gel (jusqu'où ?).
Il est beaucoup cultivé près des maisons.
Utilisations : alimentaire, médicinale, ornementale, agroforesterie, insecticide.
Il est consommé en fruits frais, confitures. On fait avec les fleurs une boisson rafraîchissante : trempées dans un peu de vinaigre blanc, puis addition d'eau et de sucre.
Artisanat : les feuilles sont utilisées pour teindre, pour colorer le vin, les tiges jeunes pour former des souffleuses pour le feu.
Médecine : fruits et feuilles pour les affections de la bouche et de la gorge, racines en infusion contre les rétentions d'eau, emplâtres pour favoriser la suppuration, feuilles en application contre les rhumatismes, infusion de fleurs fraîches (20 g pour 1 litre d'eau pendant 10 mn) contre les inflammations de la peau.
Le bois devient très dur et très résistant et est utilisé pour les constructions rurales.
Pour l'exploitation commerciale il est choisi pour les marmelades alors que le nigra est préféré pour les médicaments.
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19/06/2007
Fleurs de forêt
21:50 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
18/06/2007
...et les autres
D'abord, encore une vue de 'Adams', c'est vraiment le plus beau
Sambucus hookeri, encore tout petit, va épanouir une inflorescence pour la première fois. Elle devrait avoir des nectaires, ce qui confirmera son identité. Il a gardé son feuillage tout l'hiver.
Nota, ajouté plus tard : il n'y a pas de nectaires (comme javanica)
Sambucus tigranii est un peu en retard sur ceux de Veneux mais il est plus jeune. Il a pour la première fois 7 grappes de fruits
Sambucus nigra 'Pigmy' porte bien son nom. Il est minuscule, il faut l'utiliser en pot ou dans une rocaille. Mais il est plein de vitalité et ne connaît ni maladies ni parasites.
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Adams
A Trifouilly, après trois jours d'absence, j'ai été accueillie par ce spectacle :
C'est Sambucus canadensis 'Adams', plus beau chaque année.
Un corymbe en boutons est plat, il ressemble à ceux de S. nigra. Mais, fleurs ouvertes, il n'est plus plat, il est comme gonflé par des vagues
Vu de dessous un corymbe a une forme en parapluie
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17/06/2007
Sambucus peruviana, fleurs et fruits
Les inflorescences ont environ 20 cm de diamètre. Les fleurs, légèrement parfumées sont grandes, de 6 à 12 mm de diamètre.
On pourrait trouver quelquefois des fleurs de type femelle, petites avec des anthères vides, et d'autres mâles, grandes avec de longues étamines. Je me demande s'il n'y a pas confusion avec Sambucus australis.
Je me fierai davantage aux explications du gouvernement et des organismes qui veulent inciter à la culture de ce sureau. Ils ne parlent pas de ce genre de fleurs. Ils parlent par contre d'infertilité. Il n'est sans doute pas totalement infertile, dans ce cas il n'existerait pas en une telle abondance dans la nature. Mais il est sans doute très difficile à reproduire par semis, comme tous les sureaux, en pire.
La floraison s'étale sur une grande partie de l'année.
Les fruits sont noirs, de 5 à 8 mm de diamètre. Ils sont très agréables au goût et peuvent être consommés frais. Un corymbe mûr pèse de 180 à 415 g.
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Une chenille bien décorée
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La chélidoine
Devant le bureau de vote, j'ai vu cette chélidoine qui s'est installée au milieu d'un tapis de genévrier rampant, au nez et à la barbe des jardiniers.
Il y a très, très longtemps, j'ai eu des verrues plantaires. Un lundi matin, avant de partir au travail, j'ai eu la surprise de ne pouvoir poser les pieds au sol sans une douleur. J'étais alors assistante de faculté à Bobigny et devais surveiller les examens toute la semaine. Nous n'étions pas trop nombreux et un arrêt de travail aurait été une mauvaise blague. Me faire traiter aussitôt aurait imposé encore plus l'arrêt de travail. Comment faire le trajet : 800 m à pied jusqu'à la gare avec détour chez la nounou, train, metro avec changement, bus, et ensuite toute la journée debout, et retour. Par la porte-fenêtre j'ai vu le champ de chélidoine qui avait poussé sur les déblais de la maison à peine construite. Je savais qu'on l'appelait l'herbe aux verrues. Je n'ai pas pensé un instant qu'elle me guérirait, mais un tapis de feuilles dans des chaussettes me permettrait peut-être de faire le trajet. L'effet amortisseur a été immédiat. J'ai marché toute la journée, toute la semaine, sans plus y penser, mais en remettant des feuilles tous les jours. Le samedi matin, j'ai pu enfin prendre un long bain sans limitation de temps. J'ai tâté mes pieds : une peau de bébé, lisse et douce !
Plus tard, j'ai aussi guéri les verrues aux mains de mon fils. Vous direz peut-être que c'est une guérison psychologique fréquente avec les verrues. Peu importe. Seul le résultat compte.
Depuis, je laisse toujours une touffe de chélidoine dans le jardin.
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16/06/2007
Dans le Loiret
Je rentre d'une promenade dans le Loiret. Ce n'est pas une grande expédition, le Loiret commence à 30 km de chez moi. Je suis allée chez André Eve. C'est mon principal fournisseur de rosiers parce que je peux les obtenir greffés sur Rosa canina. Cela change des rosiers dont il est impossible de connaître le porte-greffe et donc l'adaptation au terrain, et canina est indispensable pour Trifouilly où le sol a un pH élevé. J'ai acheté des rosiers Tapis Rouge pour faire une bordure et un Bidens heterophylla (il est très grand et résiste à -13°C)
Dans un fossé près d'Ingrannes j'ai vu les premiers yèbles, Sambucus ebulus en fleurs. Un fossé bien humide, celui d'en face, moins exposé au soleil, portait des colonies de prêles, Equisetum arvense
On voit bien les anthères roses caractéristiques
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Jardin sauvage
Rosa canina prolifère depuis que je l'ai sauvée du désastre
Lysichiton americanum ne cesse d'agrandir ses feuilles
Calystegia sepium, le liseron des haies, à très grandes fleurs, vivace. Les fleurs sont aussi grandes que celles des volubilis que l'on doit semer tous les ans
Filipendula ulmaria, la reine des prés, pleine d'aspirine
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15/06/2007
Jardin sauvage
21:10 Publié dans papillons | Lien permanent | Commentaires (0)
Beaux arbres
10:55 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)