18/05/2012
Calopteryx splendens
Les premiers agrions sont de sortie. Les magnifiques Calopteryx splendens sont les plus nombreux près de la mare de Romilly et aussi ceux qui s'éloignent le plus de la mare mais bien moins loin que les libellu
Sur cette photo, en cherchant bien, on voit 2 agrions :
Inutile d'espérer un accouplement, ce sont 2 mâles. Les femelles sont vertes.
Lorsque j'ai pris cette photo de face, en avançant doucement, j'ai eu l'impression qu'il me regardait fixement, droit dans les yeux :
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16/05/2012
Rhododendron catawbiense
21:06 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (1)
La campule des murs
02:33 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (1)
15/05/2012
Sureaux
23:54 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Et revoilà le taupin !
Je vous avais déjà raconté mes aventures avec Agrypnus murinus, le taupin farceur qui m’avait fait croire qu’il était mort.
Je le revois cette année, à la même époque. Il n’a pas fait le mort mais il m’a laissé entrevoir ses ailes.
Si je le rencontre si souvent, je devrais trouver ses larves dans le sol. C’est bien le cas, elles sont aussi nombreuses que celle de l’hépiale du houblon.
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14/05/2012
Des gainiers asiatiques
Voici deux autres Cercis originaires d’Asie. Même s’ils peuvent atteindre une grande taille avec l’âge, ils se développent davantage comme des arbustes à plusieurs troncs dressés et prennent une forme en vase.
Cercis yunnanensis photographié à Paris un 6 avril :
Cercis chinensis, originaire de Chine et du Japon, photographié à l’arboretum des Barres un 9 avril :
Et le plus mignon, c’est mon bébé Cercis chinensis. Il atteint déjà 2m mais a peu de branches et il montre fièrement sa première floraison. Le 15 mars :
Le 3 avril :
Le 13 avril :
Un grossissement permet de remarquer la particularité de ses fleurs : les pétales sont souvent striés de blanc :
19:23 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Cercis siliquastrum
Les arbres du genre Cercis, parfois appelés gainiers, sont une dizaine d’espèces.
J’en ai rencontré trois. Nous allons d’abord revoir le plus connu, Cercis siliquastrum, l’arbre de Judée, originaire des régions méditerranéennes.
Au Jardin des Plantes de Paris, les arbres de Judée forment une magnifique allée d’une dizaine d’arbres :
Les fleurs d’un rose très vif ou d’un rose violacé ont la particularité étonnante de pouvoir se former directement sur l’écorce même vieille et épaisse :
Il existe une variété à fleurs blanches :
Ces fleurs donneront de nombreuses gousses pendantes :
Loin de cette allée il y a un autre arbre, tellement vieux qu’il ne peut continuer à avancer dans la vie que grâce à des béquilles. Il a été planté en 1785 :
Mais voici un jeune spécimen photographié sur le parking de Jardiland sur la zone Chamlys à Dammarie lès Lys :
15:24 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (1)
13/05/2012
Lonicera syringantha
Je ne connaissais pas cet arbuste. On me l’avait offert. Le coquin a mis des années pour s’installer. Puis l’an dernier il m’a offert sa première floraison parfumée. Et même une petite remontée en été.
Cette année il a encore grandi. Surtout il s’est étoffé. Il est bien dense, touffu, un peu désordonné. Début mai il commence à fleurir. Il me plait.
02:40 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (2)
12/05/2012
Les fleurs du néflier
Mon néflier d’Europe, Mespilus germanica, était déjà aussi grand, 4m, il y a 40 ans, peut-être un peu moins tortueux. Il pousse complètement accolé au pied d’un grand chêne à moins de 2m de la maison. Sur plans la maison avait été orientée au degré près pour respecter un maximum d’arbres, les racines ont été gainées pour qu’elles ne partent pas sous les fondations. Il y a un deuxième petit arbre complètement en sous-bois. Il est moins florifère, sans doute parce qu’il est trop à l’ombre. Il y en avait un troisième, plus petit, je l’avais donné.
Le feuillage un peu rouge en bas est un sureau noir ‘Guincho Purple’ en pot.
Ses jolies fleurs blanches de 4 à 4,5cm de diamètre ont un calice à 5 lobes pointus et longs, 5 pétales, 5 styles.
Les fleurs sont appréciées :
19:01 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (0)
Fragaria
Il existe 2 fraisiers sauvages fréquents dans la nature en France, Fragaria vesca et Fragaria moschata. Leurs fraises sont délicieuses, très parfumées mais non commercialisables car trop petites et trop fragiles. Mais quel goût et quel parfum ! Et tous deux forment d’excellents couvre-sol denses et efficaces.
L’espèce la plus fréquente dans la nature est Fragaria vesca, la fraise des bois. A Veneux et à Romilly elle est spontanée. A Romilly je favorise son installation comme couvre-sol en désherbant à la main puis quand le tapis est bien installé je me contente d’un fauchage au-dessus en laissant sur place les produits de coupe comme engrais. La production est importante au printemps mais continue plus faiblement jusqu’en septembre.
Je n’ai pas trouvé Fragaria moschata, le fraisier musqué, sur mon terrain mais il existe dans la région. J’ai planté une variété améliorée connue depuis des siècles, le fraisier ‘Capron Royal’. Dans la zone que je vous montre ici j’avais planté 3 pieds il y a 2 ans. Ils occupent maintenant de façon bien serrée environ 4m x 4m avec quelques échappés. Il n’est pas remontant et produit peu mais ses fraises ont un parfum exceptionnel et c’est un couvre-sol de premier choix qui s’étend tout seul. Une particularité de ce fraisier : il est hexaploïde, 42 chromosomes au lieu de 14 pour les autres fraisiers.
Il faut mentionner encore parmi les plantes indigènes le faux fraisier, Potentilla sterilis. Son feuillage ressemble beaucoup à celui du fraisier mais il est facile de dépister la fraude : la dent terminale d’un lobe est plus courte que les dents qui l’entoure ce qui donne une coupe carrée alors que chez Fragaria elle est plus longue. La floraison est plus précoce, dès février. Les fleurs sont petites, blanches, les pétales sont échancrés en forme de cœur. Le fruit est très petit, sec, non comestible.
00:56 Publié dans flore locale, fruitiers | Lien permanent | Commentaires (1)
11/05/2012
Inondation
Je n’étais pas allée à Romilly depuis le 28 avril. Deux jours sans pluie, beaucoup de chaleur hier (le thermomètre a noté un maximum de 31°), je croyais que l’herbe était bien sèche et j’avais amené la tondeuse. Je ne m’attendais pas à l’énorme surprise : un terrain complètement inondé.
Pour la première fois en janvier 2011 j’avais vu un niveau très élevé de la nappe phréatique qui m’avait fait admettre que le terrain était effectivement inondable. Mais il n’était inondé que dans sa limite nord au bord du fossé de drainage.
Aujourd’hui, toutes les allées étaient sous l’eau et aussi la zone de la haie de cornouillers sanguins. Voici la zone où habituellement je fais demi-tour et je stationne. J’ai aménagé la possibilité d’un demi-tour sans marche arrière pour ne pas m’embourber en cas de terrain humide parce que je n’ai que deux roues motrices.
Le pluviomètre indiquait 40 mm pour 13 jours. Ce n’est donc pas la quantité de pluie qui est la cause de cette inondation, cela n’a pu faire monter d’un mètre la nappe phréatique. C’est, bien sûr, cette fois encore, le niveau de la Seine. J’ai vérifié : la section dite Seine troyenne correspondant aux départements 10 et 51 est la seule en alerte jaune (le premier niveau). Il a dû beaucoup pleuvoir sur les montagnes.
J’ai remballé ma tondeuse et les 4 plantes que je voulais installer. Avec la pluie et quelques poussées de chaleur, les orties et les ronces bleues sont reparties de plus belle et il ne sert à rien d’y retourner avant plusieurs jours. Ensuite un travail monstrueux m’attend.
22:45 Publié dans inondations, Romilly sur Seine | Lien permanent | Commentaires (0)
Duchesnea indica
J’ai vu aujourd’hui les premières fleurs du fraisier des Indes, Duchesnea indica, que l’on peut confondre avec le fraisier des bois, Fragaria vesca, avant la floraison.
J’en avais planté 2 ou 3 pieds il y a très longtemps près de la mare parce qu’on m’avait fait croire qu’il aimait l’humidité. L’endroit ne lui a pas plu car il a presque aussitôt disparu. Plusieurs années plus tard je l’ai retrouvé au pied du mur ouest de la maison. Il y a vécu quelques années mais sans beaucoup proliférer. Cette année il en reste un peu mais vers la partie sud du mur. Et, pour la première fois, je le retrouve dans la zone la plus ensoleillée de ce terrain très boisé, en plein soleil près de la clôture sud. De toute évidence il est à la recherche du meilleur coin pour lui, de préférence ensoleillé.
Le feuillage est semblable à celui du fraisier. Il y a des petites différences dans la forme des lobes, l’intensité du vert, le nombre de poils… Mais si on n’a pas les deux ensemble ce n’est pas évident.
Feuilles de Duchesnea indica :
Feuilles de Fragaria vesca, on voit bien la pilosité du pétiole :
Avec la floraison, la confusion n’est plus possible. Les fleurs de Duchesnea sont jaunes
Celles de Fragaria sont blanches
Parfois roses chez des cultivars.
Mais la couleur de la fleur n’est pas sa seule différence. Elle a une particularité qui permettra aussi de la distinguer d’une potentille dont nous parlerons plus tard et dont la fleur jaune est semblable à une différence près. La fleur de Duchesnea indica présente en dehors du calice un épicalice de grande taille débordant la corolle.
Sur le bouton l’épicalice est le premier à se déployer, le calice est encore plaqué sur la corolle :
Epicalice, calice et corolle comportent tous 5 éléments. Sur la fleur ouverte les éléments du calice triangulaires s’intercalent entre les pétales, les éléments de l’épicalice, très larges, sont au même niveau que les pétales et les débordent largement :
04:44 Publié dans flore locale, Plantes | Lien permanent | Commentaires (1)
Rencontres
J’ai fait aujourd’hui deux charmantes minuscules rencontres.
L’après-midi, en plein soleil (30° à l’ombre), cette très petite sauterelle aptère, à peine 1cm ou moins. Je pense à une très jeune decticelle cendrée.
Le soir, ce petit volatile, lui aussi à peine 1cm, s’est posé sur moi puis est parti sur une lampe. La photographie n’est pas ma spécialité et je n’ai pas su faire de meilleures photos parce qu’il était posé sur l’ampoule (pas à incandescence, heureusement pour lui). C’est peut-être une fourmi volante.
02:22 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (2)
10/05/2012
Viburnum carlesii 'Aurora'
09:46 Publié dans viburnum | Lien permanent | Commentaires (0)
09/05/2012
Malus x zumi
Submergée par les évènements botaniques de Veneux et Romilly, je ne vous ai pas encore montré toutes les petites merveilles photographiées aux Grandes Bruyères le 9 avril.
Ce grand pommier était remarquable par l’incroyable quantité de petits boutons rouges qui le recouvraient. Ces ravissants boutons m’ont fait penser aux petites roses jamais épanouies du rosier ‘Fraise des Bois’. Les très rares fleurs qui commençaient à s’entrouvrir étaient rose pâle.
L’étiquette, un petit bout de métal gravé à la main, était illisible à l’œil nu. Je l’ai photographiée et, après avoir travaillé l’image, j’ai réussi à lire Malus x zumi mais pas le reste.
Malus x zumi est un hybride Malus baccata x Malus sieboldii. Il en existe plusieurs variétés. J’en ai trouvé 2 qui ont des boutons très rouges. Ce peut être Malus zumi calocarpa que les anglais appellent Redbud Crabapple qui aura des fruits rouges ou Malus zumi calocarpa ‘Golden Hornet’ qui a des fruits jaunes.
03:36 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (0)
08/05/2012
Lunaria rediviva
00:03 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (5)
07/05/2012
Cunningham's White
Ce petit rhododendron est l’un des rares rhododendrons qui accepte de vivre dans le sable de Veneux, sous réserve d’arrosages réguliers et de mulch de feuilles mortes toujours renouvelé. Il est précisé sur certains sites qu’il tolère des sols difficiles et même des sols légèrement alcalins. D’ailleurs certains producteurs anglais l’utilisent comme porte-greffe pour sa résistance.
En ce moment il pleut, au moins un peu, tous les jours. Ses fleurs résistent et ne sont pas du tout tachées par la pluie et ce n’est pas le cas de toutes les fleurs blanches, celles des lilas en particulier.
14:32 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (3)
06/05/2012
Le sexe du houx
Rassurez-vous, c’est bien plus facile à déterminer que le sexe des anges. Si vous avez un seul houx dans votre jardin et qu’il vous désespère parce qu’il ne donne jamais les jolies boules tant espérées, il est temps de vérifier son sexe. En effet c’est peut-être un houx mâle et il n’aura jamais de fruits ou bien c’est une femelle mais il n’y a aucun mâle à proximité. Chacun sait que pour avoir des bébés, les fruits, il faut un papa et une maman. Il vous faudra donc offrir un compagnon ou une compagne à votre petit arbre.
La floraison est bien avancée et c’est le moment de vérifier son sexe. C’est facile mais il faut mettre le nez dessus, les fleurs sont très petites.
Mes houx photographiés ici sont des Ilex aquifolium sauvages. Le 15 avril ils étaient en boutons.
Avez-vous remarqué la superbe araignée aux coloris exactement assortis aux boutons ?
Les photos suivantes sont du 5 mai. Voyons d’abord un mâle :
Les étamines sont parfaitement constituées :
Mais le pistil est invisible ou réduit à sa plus simple expression :
Les fleurs du houx femelle ont un magnifique pistil. Ce pistil n’a pas de style mais l’ovaire est dodu et le stigmate directement posé sur l’ovaire est bien large et bien gluant. Les étamines existent mais sont atrophiées et dépourvues de pollen.
23:20 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (6)
05/05/2012
x Raphiobotrya 'Coppertone'
Je vous avais parlé lors de son arrivée chez moi de x Raphiobotrya 'Coppertone', cet étonnant hybride intergénérique de Eriobotrya japonica, le néflier du Japon, et un Raphiolepis. L'intérêt de cet hybride est la date de floraison et de fructification qui permet une récolte avant les gels. Contrairement au Raphiolepis ces fruits seraient comestibles et proches de ceux de Eriobotrya. D'ailleurs, les anglais le classent parmi les loquats, les néfliers du Japon à valeur fruitière.
Mais, à part cela, je n'ai trouvé aucun renseignement précis, pas de photos permettant de vraiment le comprendre. Nous avions vu que son feuillage ressemble à celui des Raphiolepis. J'attendais avec impatience ses premières fleurs. Il avait de grandes panicules de boutons depuis des semaines. Le 1 mai j'ai aperçu la pointe rose des pétales :
Et 3 jours plus tard quelques fleurs se sont ouvertes. Elles sont presque identiques à celles des Raphiolepis. La plus grosse différence, c'est la pâleur, le peu de coloration, des organes fertiles au cœur de la fleur. J'ai eu beaucoup de mal à photographier ces organes fertiles.
Bientôt je vous le montrerai en pleine floraison et plus tard j'espère que nous pourrons voir ses fruits. Je ne crois pas que vous trouverez ces photos ailleurs. Le seul site anglais qui parle vraiment de ce petit arbre donne peu de photos et surtout se trompe totalement sur la date de floraison, il la confond avec celle de Eriobotrya.
Ce petit arbre, ou arbuste, a donc l'aspect de Raphiolepis. Il aurait pris de Eriobotrya surtout les fruits.
Quelle est sa rusticité ? Raphiolepis est peu rustique, au mieux -7°C, à réserver à la zone 9 avec protection contre le vent ou 10, Eriobotrya peut supporter jusqu'à -15°C. Les renseignements que j'ai pu trouver pour Raphiobotrya indiquent une rusticité intermédiaire entre ses deux géniteurs, sans doute vers -10°C.
J'ai longtemps hésité pour son lieu de plantation. J'ai choisi Veneux malgré la difficulté de lui trouver une place au soleil pour 3 raisons :
- Il n'aimerait pas trop le calcaire, mais ce n'est pas certain et il reste suffisamment petit pour qu'on puisse lui aménéger une zone qui lui convient.
- Sa rusticité limite. A Veneux je pourrai le protéger aussitôt s'il était prévu un gel hors normes.
- Le voleur de Romilly. Il y a quelques jours j'ai planté un néflier du Japon pour remplacer celui qui m'avait été volé, dans un endroit discret caché par des saules et frênes laissés sur place pour le cacher. Il a aussitôt été arraché. Je n'offrirai pas cet hybride exceptionnel à mon voleur, probablement incapable d'apprécier le cadeau.
Nota : on trouve quelques photos, jamais les fruits sous le nom Eriobotrya, ce qu'il n'est pas (et il ressemble davantage à Raphiolepis)
17:10 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (5)
Cercopis vulnerata
J’avais déjà vu le cercope rouge-sang à Romilly
Et aussi sa larve qui se protège dans la bave de coucou :
Ce charmant insecte sauteur et chanteur, mais d’une voix faible inaudible pour nous, est proche des cigales. Il se nourrit de sève qu’il suce. J’ai donc été étonnée de le voir en grand nombre essentiellement sur les fruits de mon houx ‘Amber’ à Veneux. Que ce houx ait encore des fruits en mai n’a rien d’étonnant, les oiseaux n’y touchent jamais parce qu’ils sont jaunes. Les houx sont en pleine floraison mais lui est encore en boutons.
Les couleurs violentes du cercope l’aident à faire comprendre aux méchants insectivores qu’il n’est pas comestible. Pour plus de sécurité il s’est mis aussi du rouge sur l’abdomen. Pour mieux vous montrer ce rouge abdominal, j’ai fait des recadrages :
Il a 2 copains qui lui ressemblent énormément, Cercopis sanguinolenta et Cercopis intermedia qui a aussi du rouge sur les pattes. Ces 3 cercopes d’aspect très proche sont très bien décrits sur ce site.
00:59 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (0)
03/05/2012
Acer griseum
20:41 Publié dans acer, écorces | Lien permanent | Commentaires (0)
02/05/2012
Sambucus callicarpa
L'américain Sambucus callicarpa est le sureau rouge dont la floraison est la plus tardive. Le dernier jour d'avril une seule grappe a ouvert quelques fleurs :
mais la plupart des grappes sont encore totalement en boutons :
alors que par exemple Sambucus kamtchatica en est déjà aux fruits verts
et que les sureaux noirs ont des corymbes en boutons :
16:52 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Allium ursinum
10:26 Publié dans légumes | Lien permanent | Commentaires (0)
01/05/2012
Zanthoxylum planispinum
J'ai répondu à Donna que son Zanthoxylum est peut-être un planispinum parce que son feuillage est persistant et que la plupart des Zanthoxylum sont caducs. Zanthoxylum planispinum est le seul poivrier à feuillage persistant que j'aie rencontré.
Mais il est possible que d'autres Zanthoxylum à feuillage persistant aient été introduits en France. Pour vérifier si c'est planispinum, je vous propose une autre caractéristique de ce petit arbre : l'aspect de ses feuilles, tout-à-fait inédit chez les zanthos.
Les feuilles de Zanthoxylum planispinum ont 3 folioles et le pétiole présente des ailettes :
Parfois une feuille a 5 folioles. Dans ce cas la nervure centrale qui prolonge le pétiole a aussi des ailettes :
12:31 Publié dans fruitiers, zanthoxylum | Lien permanent | Commentaires (0)
Zanthoxylum
00:39 Publié dans fruitiers, zanthoxylum | Lien permanent | Commentaires (2)
30/04/2012
Crataegus pedicellata
Je vous avais montré comme Crataegus pedicellata, l'aubépine pourpre aux fruits comestibles, âgée alors d'un an, avait un feuillage toujours vert au début de l'hiver. Ce feuillage n'a rougi qu'en janvier, était toujours présent fin janvier et n'est tombé que lors des gels importants de février.
Le 20 avril elle se réveille à peine :
Il m'arrivera souvent de vous montrer des étiquettes sales, c'est parce que je les enterre pour ne pas faciliter la vie des voleurs qui sévissent toujours.
14:01 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (1)
Une si jolie mouche
01:57 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (0)
29/04/2012
Mes semis
Les plantules obtenues à partir d'un fruit pourri au pied d'un Pseudocydonia sinensis de l'arborétum des Barres étaient déjà belles en automne. Elles ont passé l'hiver dehors et ont gardé leur feuillage. Cela me semble être une particularité des très jeunes plantes, le pied qui a fourni les graines était bien caduc. Maintenant elles sont bonnes à planter :
Les autres semis ont pour origine des graines issues de fruits tombés sous des arbres du Jardin des Plantes de Paris.
Pyrus caucasica. La plus grande plante est en pot. Les 6 autres vont m'occuper ce soir pour leur mise en pot urgente :
Malus hupehensis doit aussi être mis en pot d'urgence, les plantules se gênent, j'en ai compté 16 !
Malus 'Golden Hornet' :
21:16 Publié dans fruitiers | Lien permanent | Commentaires (2)
Berberis ottawensis
00:57 Publié dans Animaux, Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
28/04/2012
Acer platanoides m'envahit
Jusqu'à présent mes érables sycomores, Acer pseudoplatanus, étaient les seuls érables envahisseurs de mon terrain de Veneux. Mais maintenant les jeunes érables planes, Acer platanoides, sont de plus en plus nombreux. Je ne sais d'où ils viennent, je n'en ai pas vu dans le quartier mais la forêt est tout près et avec leurs petites ailes les graines d'érables peuvent voler très loin.
Le jeune Acer platanoides est celui de droite :
et là c'est celui du bas :
J'en ai même trouvé un dans un pot à Romilly. Ce pot avait séjourné à Veneux :
02:37 Publié dans acer | Lien permanent | Commentaires (3)