17/06/2007
Une chenille bien décorée
19:35 Publié dans Hibiscus, papillons | Lien permanent | Commentaires (1)
La chélidoine
Devant le bureau de vote, j'ai vu cette chélidoine qui s'est installée au milieu d'un tapis de genévrier rampant, au nez et à la barbe des jardiniers.
Il y a très, très longtemps, j'ai eu des verrues plantaires. Un lundi matin, avant de partir au travail, j'ai eu la surprise de ne pouvoir poser les pieds au sol sans une douleur. J'étais alors assistante de faculté à Bobigny et devais surveiller les examens toute la semaine. Nous n'étions pas trop nombreux et un arrêt de travail aurait été une mauvaise blague. Me faire traiter aussitôt aurait imposé encore plus l'arrêt de travail. Comment faire le trajet : 800 m à pied jusqu'à la gare avec détour chez la nounou, train, metro avec changement, bus, et ensuite toute la journée debout, et retour. Par la porte-fenêtre j'ai vu le champ de chélidoine qui avait poussé sur les déblais de la maison à peine construite. Je savais qu'on l'appelait l'herbe aux verrues. Je n'ai pas pensé un instant qu'elle me guérirait, mais un tapis de feuilles dans des chaussettes me permettrait peut-être de faire le trajet. L'effet amortisseur a été immédiat. J'ai marché toute la journée, toute la semaine, sans plus y penser, mais en remettant des feuilles tous les jours. Le samedi matin, j'ai pu enfin prendre un long bain sans limitation de temps. J'ai tâté mes pieds : une peau de bébé, lisse et douce !
Plus tard, j'ai aussi guéri les verrues aux mains de mon fils. Vous direz peut-être que c'est une guérison psychologique fréquente avec les verrues. Peu importe. Seul le résultat compte.
Depuis, je laisse toujours une touffe de chélidoine dans le jardin.
17:45 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
16/06/2007
Dans le Loiret
Je rentre d'une promenade dans le Loiret. Ce n'est pas une grande expédition, le Loiret commence à 30 km de chez moi. Je suis allée chez André Eve. C'est mon principal fournisseur de rosiers parce que je peux les obtenir greffés sur Rosa canina. Cela change des rosiers dont il est impossible de connaître le porte-greffe et donc l'adaptation au terrain, et canina est indispensable pour Trifouilly où le sol a un pH élevé. J'ai acheté des rosiers Tapis Rouge pour faire une bordure et un Bidens heterophylla (il est très grand et résiste à -13°C)
Dans un fossé près d'Ingrannes j'ai vu les premiers yèbles, Sambucus ebulus en fleurs. Un fossé bien humide, celui d'en face, moins exposé au soleil, portait des colonies de prêles, Equisetum arvense
On voit bien les anthères roses caractéristiques
19:20 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Jardin sauvage
Rosa canina prolifère depuis que je l'ai sauvée du désastre
Lysichiton americanum ne cesse d'agrandir ses feuilles
Calystegia sepium, le liseron des haies, à très grandes fleurs, vivace. Les fleurs sont aussi grandes que celles des volubilis que l'on doit semer tous les ans
Filipendula ulmaria, la reine des prés, pleine d'aspirine
12:10 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
15/06/2007
Jardin sauvage
21:10 Publié dans papillons | Lien permanent | Commentaires (0)
Beaux arbres
10:55 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Sambucus peruviana
Originaire du Pérou et des régions adjacentes, il y est souvent considéré plutôt comme un arbre (il a été nommé S. arborea)
Ses noms vernaculaires sont sauco, layan, rayan, uva de la Sierra (raisin de la Montagne), uvilla del diablo (petit raisin du diable), pochko uvas.
Le système racinaire est du même type que nigra, avec longtemps la possibilité de développement de bourgeons de la base et donc plusieurs troncs mais pas de rhizomes.
Le tronc est cylindrique, parfois tortueux.
Comme tous les sureaux, ses jeunes tiges sont vertes, cassantes, peu résistantes à cause de la moelle centrale mais les années suivantes le bois durcit beaucoup (il sera utilisé pour cela), l'écorce devient brune. Les jeunes tiges portent des lenticelles, les plus vieilles des fissures longititudinales. La moelle est blanche, parfois verte et vivante au début.
Les feuilles sont les plus grandes du genre, elles peuvent dépasser 60 cm, formées de 7 à 9 folioles, parfois 11, qui peuvent atteindre 16 cm de long et jusqu'à 7 cm de large. Elles peuvent porter des poils blancs sur leur face inférieure. Il peut exister des stipules, sous forme de petites pointes ou d'aspect foliacé, et des stipelles.
Dans certaines régions, il coexiste avec S. nigra et les locaux les distinguent bien, S. peruviana a 7 à 11 folioles et S. nigra, plus exploité en Equateur où ils l'appellent tilo (tilleul), n'a que 5 à 7 folioles.
09:10 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
14/06/2007
L'argent est-il comestible ?
Aujourd'hui j'ai reçu du courrier de l'association Kokopelli. Bien sûr, je les soutiens, parce que je crois qu'il est plus urgent de sauvegarder le patrimoine génétique de la Terre que de le dénaturer. Dans l'enveloppe il y avait juste une carte avec un message dont j'ai envie de vous faire profiter :
Quand le dernier arbre sera abattu,
La dernière rivière asséchée,
Le dernier poisson pêché,
Les hommes vont s'apercevoir
Que l'argent n'est pas comestible.
Paroles Amérindiennes.
23:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/06/2007
et encore
J'ai retouvé cette photo. Christian, le canadien dont vous avez déjà vu une photo, me l'avait envoyée il y a quelques années. C'est une photo papier que j'ai numérisée. Elle est un peu passée mais très belle avec Sambucus pubens en fleurs sur son tapis de fleurettes jaunes
Les sureaux noirs ont commencé à fleurir fin avril cette année. Sambucus nigra 'Ina' est celui qui aura eu la plus longue floraison. On voit sur cette photo du 12 juin un corymbe en pleine floraison, à sa droite un corymbe encore en boutons et derrière des fruits à divers stades

15:40 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Et les canadiens
Les boutons floraux de Sambucus canadensis 'Adams' ont très vite grossi. Les fleurs ne sont pas encore ouvertes
J'aurai peut-être des fruits cette année car il aura des partenaires. 'York' est un peu en retard mais on devine ses bourgeons floraux. A sa droite une inflorescence de la vraie valériane, Valeriana officinalis, spontanée sur ce terrain
et S. canadensis 'Maxima' s'est enfin décidé à pousser et a de tout petits bourgeons floraux.
Et il y a aussi le S. pubens envoyé par la pépinière allemande et qui a des bourgeons typiques de canadensis ! Vous savez, ceux qui m'avaient obligée à payer d'avance par virement bancaire des plantes qu'ils n'avaient pas et m'ont remboursée par un chèque tiré sur une banque allemande !
13:45 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Nouvelles de mes sureaux
12:20 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Sambucus peruviana
Sambucus peruviana est une espèce.
Certains veulent en faire une sous-espèce de nigra mais cela est scientifiquement indéfendable. Certes, il a beaucoup de points de ressemblance avec nigra. C'est normal, il en provient probablement par un"incident" de division cellulaire qui remonte à un temps peut-être pas très lointain, et il a hérité de tous ses caractères.
Mais il a 72 chromosomes ! soit 2 fois plus que nigra. A-t-il 36 chromosomes supplémentaires différents de nigra, c'est peu probable. C'est certainement un tétraploïde. Il a donc tout l'héritage génétique de nigra, mais en double. Et donc il lui ressemble, avec juste quelques détails fréquents chez les tétraploïdes, feuilles plus grandes, fleurs plus grandes, etc.
Mais la ressemblance ne suffit pas à les réunir en une seule espèce. Les deux critères indispensables pour les réunir en une espèce sont la ressemblance et l'interfécondité absolue. Voir le Dictionnaire de Botanique de Bernard Boullard et mes notes du 16 et du 17 janvier.
Et ce deuxième critère n'existe pas. Peut-on obtenir des hybrides ? Nul ne le sait. Mais, si on peut obtenir des hybrides, ils seront obligatoirement triploïdes et donc stériles.
Par sa tétraploïdie Sambucus peruviana est devenu une nouvelle espèce.
Ou alors, je n'ai rien compris à la meïose...
01:05 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
12/06/2007
Et les petites sauvages
10:40 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
11/06/2007
Encore des jaunes
23:15 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Fleurs jaunes
20:35 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
10/06/2007
Petits gâteaux de crêpes au sureau
Préparez une pâte à crêpes au chocolat avec 250 g de farine, 35 g de cacao en poudre, 4 oeufs, 60 cl de lait, 50 g de beurre. A l'aide d'une cuiller à dessert déposez toujours la même quantité de pâte dans la poele, les crêpes prendront d'elles-mêmes une forme ronde.
Faites une mousse aux fleurs de sureau : mettez 20 cl de lait concentré pendant 20 minutes au congélateur puis battez-le en mousse ferme. Mélangez les fleurs de sureau sèches en poudre avec un sachet de sucre vanillé. Ajoutez-les au lait battu, mélangez le tout à 50 g de crème pâtisssière.
Montez les petits gâteaux : une crêpe, une couche de gelée de baies de sureau, une crêpe, une couche de mousse aux fleurs, une crêpe, etc.
18:45 Publié dans cuisine des fleurs | Lien permanent | Commentaires (0)
Rana esculenta
11:55 Publié dans Animaux | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2007
Les deux faux de Segrez
Cette superbe demi-sphère verte est couverte de feuilles de hêtre. Le feuillage est ininterrompu jusqu'au sol et il faut écarter des branches pour pénétrer, et comprendre. A l'intérieur il y a deux énormes troncs torturés surmontés de branches encore plus torturées et anastomosées. Il y a au moins 2 fois la hauteur d'un homme. Ce sont des faux, des hêtres tortillards importés de Verzy il y a longtemps. Un tronc :
L'autre tronc :
On a l'impression qu'ils ont été greffés. C'est peut-être ce qui explique leur vigueur.
Les branches :
22:30 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Segrez
L'arboretum de Segrez vaut vraiment le déplacement, il y a des arbres extraordinaires. Commençons par les Pterocarya.
Pterocarya x rehderiana est un hybride. C'est à Segrez que cette espèce est née de la rencontre pour la première fois, il y a 130 ans, de Pterocarya fraxinifolia et Pterocarya stenoptera. Son tronc puissant rejette et drageonne abondamment
Malheureusement ce premier specimen de l'espèce est menacé de mort par un champignon
Cette forêt, c'est un seul arbre et ses multiples drageons, 5 ou 6 gros troncs, les plus anciens, et des dizaines de plus jeunes. C'est l'un des géniteurs du précédent, Pterocaya fraxinifolia planté vers 1830
19:45 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
08/06/2007
Alstroemeria
Les lis des Incas, c'est beau. A Veneux, ils ne cessent de se multiplier mais ne fleurissent plus car les arbres ne cessent de prendre de l'ampleur et ils ne voient plus le soleil. Je les ai transplantés à Trifouilly. Ils n'ont pas vécu 24 heures. Encore les lapins...
Authion
Ceres
Montgeffroy
Saturne
23:45 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Sambucus australis
Utilisation
Ornementale. Il est souvent planté près des maisons.
Culinaire.
Médicale :
Fleurs et feuilles sont utilisées avec lait et miel contre grippe et asthme.
En usage externe pour irritations de la peau, ulcérations bucales.
Il entre dans la composition d'une tisane :
Sambucus australis, feuilles
Mentha piperita, feuilles
Malva silvestris, racines
Cette tisane est utilisée pour diverses affections : affections saisonnières avec fièvre, bronchites, pharyngites, amygdalites, laryngites, indigestions et troubles fonctionnels digestifs, gingivites, céphalées, nausées, inflammations urinaires, rougeole.
Commerciale: obtention d'une essence pour parfumer les produits alimentaires et vins, utilisation des fruits pour la production de gelées et liqueurs.
Culture
Reproduction par boutures de 20 cm avec 4 noeuds dans un substrat sableux ou argilo-sableux.
Sol riche, humide, neutre à calcaire, soleil ou mi-ombre.
21:00 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Encore des fleurs
Gerbes d'érémurus
j'en ai planté 5 cet automne à Trifouilly. Un seul a survécu, vous en aurez une photo bientôt. Sa survie tient du miracle. Quelques jours après la plantation on pouvait deviner des tunnels sous le sol, ils sont gustativement appréciés. Bien sûr, on peut mettre un grillage et aussi sur les tulipes, les crocus, etc... et transformer son terrain en champ miné de grillages.
Lis de la Madone
J'en ai aussi, à Veneux. Ils n'atteignent pas la floraison, ils battent tous les records d'attraction pour les criocères.
Acanthes
Photo, version Trifouilly, plus modeste, bientôt.
11:25 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (2)
07/06/2007
Sambucus australis, suite
Cet état dioïque est cependant incomplet. On peut trouver des fleurs mâles avec des carpelles bien développés, des fleurs mâles et des fleurs femelles dans la même inflorescence, et quelques individus semblent porter des fleurs hermaphrodites.
Des expériences ont montré que les fleurs femelles ne donnent des fruits que si elles reçoivent du pollen.
Les fleurs mâles vont tomber, les fleurs femelles vont donner des drupes noires de 6 mm de diamètre avec persistance du calice au sommet formant comme une couronne. La chair est verte et contient en général 5 graines.
Selon la zone climatique il est en fleurs d'octobre à décembre (on est dans l'hémisphère sud) ou presque toute l'année.
Rusticité
Il est mentionné parmi les plantes d'Argentine résistant au gel, mais jusqu'à quel point ?
Distribution
Uruguay, Argentine, Chili, Paraguay, Brésil. On l'appelle localement sauco (espagnol) ou sabugueiro (portuguais) mais c'est le nom vernaculaire de tout le genre. Les noms anglais, southern elder, et allemand südlicher Hollunder sont plus significatifs.
Ecologie
Il intéresse sans doute le même type de faune que les autres sureaux, et aussi le papillon Protambulyx strigilis strigilis dont il est l'une des plantes nourricières.
23:20 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
Floraisons parisiennes
18:55 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Sambucus australis
Ce sont des arbustes ou des arbres de 2 à 5 m le plus souvent, exceptionnellement jusqu'à 12 m. Ils sont formés de plusieurs troncs dont certains peuvent atteindre jusqu'à 20 cm de diamètre.
Ils émettent des rhizomes et drageonnent jusqu'à 50 cm de distance.
Les jeunes tiges sont plutôt jaunâtres et couvertes de petites lenticelles rondes, les vieilles tiges sont brunes avec des bandes verticales. La moelle est verte et vivante pendant 2 à 3 ans puis blanche.
Les feuilles ont 9 à 15 folioles et présentent le plus souvent des stipules d'1 cm. Il y a aussi fréquemment des stipelles.
Les corymbes, en position terminale, ont de 6 à 16 cm de diamètre. Ils ont très souvent des bractées et des bractéoles.
Les fleurs, de 5 à 8 mm, sont odorantes et leurs pédicelles portent souvent aussi des bractéoles. Ces fleurs ont toutes un aspect de fleurs hermaphrodites mais elles sont fonctionnellement unisexuées et se pésentent sous 2 aspects :
- sur les sujets mâles elles ont de longues étamines de 5 mm qui dépassent les pétales et les anthères ont beaucoup de pollen, leur partie femelle présente 5 carpelles mais de plus petite taille que dans les fleurs femelles.
- sur les sujets femelles, les fleurs ont des étamines très courtes, à peine 1 mm, sans pollen. Les 5 carpelles par contre sont plus larges que dans les fleurs mâles.
04:25 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
06/06/2007
La Seine
21:45 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Jolies plantes
12:10 Publié dans Plantes | Lien permanent | Commentaires (1)
Alors, trisomique ?
3. La troisième explication possible est la trisomie portant sur une paire.
Si tous les individus sont trisomiques, pour leur descendance on se retouve statistiquement dans le cas précédent et au moins les individus à 37 et ceux à 36 chromosomes seraient viables.
Je n'ai pas trouvé de réponse.
Ce qui me paraît certain, c'est qu'il est impossible qu'il ait 37 chromosomes et se reproduise sexuellement en donnant uniquement des individus à 37 chromosomes.
00:05 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)
05/06/2007
Hybride ou trisomique ?
2. Sambucus australis pourrait être un hybride entre un sureau à 36 chromosomes (nigra, mexicana, canadensis) et un sureau à 38 chromosomes (cerulea). Si les sureaux sud-américains restent très localisés à l'Amérique du Sud, les sureaux nord-américains débordent largement. De plus S. canadensis a été exporté partout dans le monde comme espèce ornementale. Un élément fait penser à canadensis : S. australis a, comme lui, la faculté de drageonner.
Mais les hybrides interspécifiques sont le plus souvent stériles, ce qui ne semble pas être le cas de S. australis. S'il se multipliait de façon uniquement végétative, il resterait très localisé. Il est vrai que sa zone de distribution est assez limitée et de plus les conditions de sa formation pourraient se reproduire.
Alors, est-il fertile ou pas ? Il n'y aurait rien d'étonnant à ce qu'il soit fertile. Les espèces à 38, voire 40 chromosomes sont probablement apparues récemment, sans doute par dysploïdie (on trouve des individus à 36 chromosomes dans des populations à 38 chromosomes) et les 18 paires de chromosomes de base sont peut-être restées identiques ou suffisamment proches pour que l'appariement des chromosomes puisse se faire lors de la mitose réductionnelle.
Mais dans ce cas le 37ème chromosome migrerait dans l'une des deux cellules et après fécondation on aurait statistiquement pour moitié des cellules à 37 chromosomes, 1/4 de cellules à 36 et 1/4 de cellules à 38 chromosomes qui seraient toutes viables puisque représentant soit l'hybride soit une des espèces d'origine;
Mais il n'est question que d'individus à 37 chromosomes.
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Sureaux
20:45 Publié dans Sureaux | Lien permanent | Commentaires (0)